Seit 1993 ist es ein Tempel für orientalische Backwaren, also schon ein Vierteljahrhundert... Datteln, Feigen, Orangen, Mandeln, Pistazien, Honig ... Sie sind alle da. Seit seiner Gründung in der Rue Saint-Maur durch Samira Fahim und ihren Geschäftspartner Hassen Rahmani hat La Bague de Kenza die Familie durch die Eröffnung mehrerer Geschäfte in Paris und den Vororten vergrößert. Was ist ihr Erfolg? Die Qualität der algerischen und oft auch algerischen Backwaren, die auf der Zunge zergehen und herrlich süß sind? Rund sechzig kleine Köstlichkeiten warten darauf, von Ihnen entdeckt zu werden: mit Walnüssen, Mandeln, Pistazien, Datteln, Rosen, Honig... Im angrenzenden Feinkostgeschäft werden Sie ebenfalls sehr freundlich empfangen. Und auch wenn die Preise etwas hoch sind, sind sie gerechtfertigt.
Wussten Sie schon? Diese Stellungnahme wurde von unseren professionellen Autoren verfasst.
Meinungen der Mitglieder zu LA BAGUE DE KENZA
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
La serveuse vient de me refuser la vente d’1 bradj alors qu’il y en a 4 exposés sur 1 plateau.
Je fais une chute intérieure imprévue et mortelle. Je ressuscite, organise des mots en vrac : « ceux là sont vendus, commandés ? »
- non, ils sont là pour montrer à la clientèle les produits exploitables...
Deuxième mort intérieure orpheline de mots. Des clients impatients attendent. Je sors. Une vague de violence intérieure me submerge. Troisième mort. Je re-rentre, bave aux babines en bête humaine :
- vous m’avez pris pour un con ? (En prenant les clients à partie) Sortez de cette boutique qui se moque de vous. (À la serveuse) Madame, je vous méprise. Je sors pour, groggy, écrire ce témoignage comme un geste expiatoire de survie....
C’est quoi cet asile !!!?
Le seul bémol est le prix élevé....
La serveuse vient de me refuser la vente d’1 bradj alors qu’il y en a 4 exposés sur 1 plateau. Je fais une chute intérieure imprévue et mortelle. Je ressuscite, organise des mots en vrac : « ceux là sont vendus, commandés » - non, ils sont là pour montrer à la clientèle les produits exploitables... Deuxième mort intérieure orpheline de mots. Des clients impatients attendent. Je sors. Une vague de violence intérieure me submerge. Troisième mort. Je re-rentre, bave aux babines en bête humaine : - vous m’avez pris pour un c.. (En prenant les clients à partie) !? Sortez de cette boutique qui se moque de vous ! (À la serveuse) Madame, je vous méprise. Je sors pour, groggy, écrire ce témoignage comme un geste expiatoire de survie contre l'effroi face à la folie ?!..