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Brasserie de quartier typiquement parisienne proposant de la cuisine française traditionnelle avec des produits de qualité, je vous recommande particulièrement le paleron de boeuf et les rognons de veau. De l'entrée au désert les plats sont vraiment bons. Le cadre est agréable même si il est peu daté, c'est l'esprit brasserie. Le service est fait avec le sourire. Je recommande fortement.
La Garçonnière offre une expérience culinaire délicieuse avec des plats exquis et un service impeccable. Les saveurs raffinées et l'attention aux détails font de ce restaurant une destination incontournable pour les amateurs de gastronomie française
Ein ruhiges, atmosphärisches , typisches französisches Bistro, wir haben einen sehr schönen Abend verbracht und wurden ausgesprochen freundlich auf perfektem Englisch empfangen und durch den Abend begleitet von einer sehr aufmerksamen , frischen jungen Kellnerin, die auch für einen kleinen Spaß zu haben war . Die Menükarte ist üppig und ausgefallen/ klassisch, es sind auch viele Einheimische , und wenig Touristen, was wir als sehr angenehm empfunden haben. Man fühlte sich herzlich willkommen, genauso wie man es sich wünscht , wenn man in ein neues Lokal kommt, man wird wahrgenommen und liebevoll bedient! Einfach schön! Sehr zu empfehlen!!
Repas 2 personnes
Nous avons pris 2 burgers cuisson saignante et une bouteille de 50cl de crozes hermitage.
30 minutes pour service 2 burgers alors que nous étions que 3 tables à manger à 19h. Avec des cuissons ratées…. Ils étaient à point voir bien cuit et non saignants.
Le vin sentait la piquette et pas possible de vérifier l’authenticité car il était en carafe.
Bizarre que ce soit la serveuse qui nous propose de prendre une 50cl alors que nous allions prendre la bouteille, non?
Resto de très bonne qualité et très sympathique. L'équipe et Mounir le patron sont très chaleureux. Les plats sont copieux et délicieux. Je vous recommande vivement la Pavlova, un délice pour les papilles. Je recommande vivement ce restaurant.
Accueil très chaleureux, très belle terrasse, les plats sont de très bonne qualité et copieux. L'équipe et le patron Mounir sont pro et très sympathiques. Ne manquez pas les desserts qui sont excellents. Je recommande vivement cet endroit !
La Garçonnière est un film épatant de Billy Wilder. C’est aussi un bistrot né en 2009 dans un coin improbable du seizième arrondissement. Un cas d’école détestable du Paris gargotier.
Au départ, ce bistrot est plutôt bien troussé la pata negra savoureuse. D’emblée, j’y pose mon rond de serviette tous les 15 jours, à 20H30, avec ma mère âgée de 80 ans. Sans compter de fréquentes tablées familiales.
Les débuts sont difficiles, la salle plutôt à moitié vide qu’à moitié pleine. Un soir d’hiver rigoureux, la chaudière tombe en panne. Seules deux tables sont occupées, mais nous restons, stoïques.
Puis, intervient la fracture bistrotière : une citation dans le très tendance magazine du Fooding attire une clientèle plus jeune, plus hype, plus dépensière. La pata negra devient immangeable et l’on ne réserve plus en terrasse. La cuisine se fait de plus en plus irrégulière, et un grand et beau jeune homme aux cheveux longs a ses humeurs peccantes.
Les habitués ne sont plus envisagés, mais dévisagés. Non seulement la vieille dame mange peu, mais elle forme avec son fils un tandem antinomique avec l’image que maîtres et valets se font désormais de leur maison.
Un jeudi de février, réservation est prise puis confirmée, pour le lendemain à 20H30. Ce jeudi soir, une serveuse laisse un message laborieux sur mon portable, indiquant qu’ « ils font deux services vendredi soir… et que cela va être compliqué pour 20H30… et qu’en plus c’est une soirée spéciale » . En clair, les habitués du premier jour sont conviés à pointer leurs papilles ailleurs. Place nette pour les gros mangeurs, et les trentenaires au front rougi par le baiser de la mode.
Cela rappelle, au début des années 2000, le Korova, resto fashion de Jean-Luc Delarue, qui décommandait ses clients si un people s’invitait à la dernière minute. Cette table sombra en quelques mois.
Mais, le lendemain, à 19H, nouveau message et changement de ton, on nous attend, « comme d’habitude à 20H30 ». Cette fois, le cave se rebiffe, rappelle et tombe sur la brunette qui joue l’imbécile. Mais la jolie môme finit par manger le morceau : « Vous pouvez venir, on a eu des annulations. » Quid alors de notre réservation confirmée depuis la veille ? CQFD.
Dommage que cette Garçonnière soit désormais aux antipodes du film de Billy Wilder.
Dans le no man's land de la Porte de St Cloud, cette brasserie a le mérite d'offrir une honnête cuisine classique du Sud Ouest. C'est bon, mais je trouve l'addition un peu salé. Visiblement çà ne décourage pas la clientèle du quartier car c'est plein midi et soir. Le plus : la grande terrasse ensoleillée.
Excellent service, and good food.
A bit on the expensive side, but it is expected in this district.
Feels just like home.
Nous avons pris 2 burgers cuisson saignante et une bouteille de 50cl de crozes hermitage.
30 minutes pour service 2 burgers alors que nous étions que 3 tables à manger à 19h. Avec des cuissons ratées…. Ils étaient à point voir bien cuit et non saignants.
Le vin sentait la piquette et pas possible de vérifier l’authenticité car il était en carafe.
Bizarre que ce soit la serveuse qui nous propose de prendre une 50cl alors que nous allions prendre la bouteille, non?
Le service était cependant correcte.
Burger etait sec absolument pas savoureux.
Point positif : Terrasse
英語も単語を強調してくれ聞きやすかった!
料理も美味しく言う事無し!!
スタジアム行く際は是非!
Vous avez raison, je ne peux pas dire que la totalité de ce que vous servez est surgelé.
Le pain l’est, du moins lors de mon passage l’était.
La Garçonnière est un film épatant de Billy Wilder. C’est aussi un bistrot né en 2009 dans un coin improbable du seizième arrondissement. Un cas d’école détestable du Paris gargotier.
Au départ, ce bistrot est plutôt bien troussé la pata negra savoureuse. D’emblée, j’y pose mon rond de serviette tous les 15 jours, à 20H30, avec ma mère âgée de 80 ans. Sans compter de fréquentes tablées familiales.
Les débuts sont difficiles, la salle plutôt à moitié vide qu’à moitié pleine. Un soir d’hiver rigoureux, la chaudière tombe en panne. Seules deux tables sont occupées, mais nous restons, stoïques.
Puis, intervient la fracture bistrotière : une citation dans le très tendance magazine du Fooding attire une clientèle plus jeune, plus hype, plus dépensière. La pata negra devient immangeable et l’on ne réserve plus en terrasse. La cuisine se fait de plus en plus irrégulière, et un grand et beau jeune homme aux cheveux longs a ses humeurs peccantes.
Les habitués ne sont plus envisagés, mais dévisagés. Non seulement la vieille dame mange peu, mais elle forme avec son fils un tandem antinomique avec l’image que maîtres et valets se font désormais de leur maison.
Un jeudi de février, réservation est prise puis confirmée, pour le lendemain à 20H30. Ce jeudi soir, une serveuse laisse un message laborieux sur mon portable, indiquant qu’ « ils font deux services vendredi soir… et que cela va être compliqué pour 20H30… et qu’en plus c’est une soirée spéciale » . En clair, les habitués du premier jour sont conviés à pointer leurs papilles ailleurs. Place nette pour les gros mangeurs, et les trentenaires au front rougi par le baiser de la mode.
Cela rappelle, au début des années 2000, le Korova, resto fashion de Jean-Luc Delarue, qui décommandait ses clients si un people s’invitait à la dernière minute. Cette table sombra en quelques mois.
Mais, le lendemain, à 19H, nouveau message et changement de ton, on nous attend, « comme d’habitude à 20H30 ». Cette fois, le cave se rebiffe, rappelle et tombe sur la brunette qui joue l’imbécile. Mais la jolie môme finit par manger le morceau : « Vous pouvez venir, on a eu des annulations. » Quid alors de notre réservation confirmée depuis la veille ? CQFD.
Dommage que cette Garçonnière soit désormais aux antipodes du film de Billy Wilder.
NOEL CORIANDRE