Meinungen KI KEN TAÏ KARATÉ Paris

J'ai pris plusieurs cours de yoga la bas. La prof est très bien, j'ai appris de nouvelles choses et le niveau est adapté à tous (sauf extreme débutant peut etre). Ils proposent plein d'autres sport. Par contre selon moi la salle n'était pas au top.

Super journée organisée de trampoline Park pour les enfants à l'initiative de coach Fabrice ????????

Je suis arrivée dans ce lieu on croirait qu’il est à l’abandon vestiaires sales on ne m’a même pas prévenu que le cours de pilate ne serait pas assuré …
Personne à l’accueil pour vous recevoir
Passez votre chemin

I am loving the Karate lasses!
The instructors are top and the students are friendly. Great atmosphere.

Arrivée au club depuis 2019, je suis totalement fan :
- de la personnalité de l’immense Jacques Tapol, quelle chance de pouvoir bénéficier de son enseignement en karaté, c’est vraiment exceptionnel. Même en tant que femme de bientôt 50 ans, je progresse dans la bienveillance et je me sens à ma place.
- de la qualité des coachs et des enseignants. Mention spéciale à Florian, avec qui je fais du stretching, entre autre, et dont le niveau d’expertise atteint l’excellence.
- de la gentillesse de Sami et Bernard
- de la variété des cours proposés
- et enfin des gens du club… quelle équipe soudée ! Partage, échanges, bienveillance, on passe de bons moments sur le tatami, et aussi en dehors. Le côté social du club, ça n’a pas de prix !
Merci Kikentaï :-)

Jacques Tapol est un très bon du karaté français. Inutile d'ailleurs de le dire puisque son parcours sportif l'atteste. En tous les cas, il a mon meilleur souvenir "du sud" : Un maître avec un mélange de rigueur et de plaisanterie pour voir à qui il a vraiement affaire : ce même mélange, toujours aussi, axé vers le progrès de ses élèves que ce soit au travers d'entraînements au dojo ou en tenue début janvier dans la mer... bref, un sensei comme on espère en avoir dans la ville où l'on veut pratiquer le karaté... Gregory A.

Un prof charismatique , des partenaires sympas, convivialité au top j’adore

J’ai découvert le kikentai il y a maintenant un an et demi. Je souhaitais reprendre le sport en douceur, mais je cherchais un endroit qui serait un peu comme une deuxième maison pour moi. Ce club correspondait parfaitement à mes attentes. Les cours sont extraordinaires, les professeurs sont extrêmement compétents (je pratique le karaté, le yoga et je suis les cours de fitness), l’ambiance est détendue et bienveillante, et les gens sont agréables et chaleureux. Je ne peux que fortement recommander ce club! Longue vie au kikentai!!

Great club, great pedagogy and leadership in karate, and warm welcome all around. Couldn't recommend it more highly.

Le meilleur club de tout Paris !!! Nous venons de faire la fête du Kagami Biraki ce Samedi 14 Janvier 2023 et nous avons pratiqué du karaté toute la nuit dans la joie, la bonne humeur tous ensemble !! Des pratiquants qui sont venus de toutes la france pour célébrer cette fête !!! Mais ce n'est qu'un détail comparé à ce s'y passe quotidiennement. J'invite tous les curieux et curieuses à venir vous essayer à KIKENTAI !!!! L'humain est au centre de tout ce qu'y s'y passe comme la bienveillance, on ne le voit nulle part ailleur comme ça !!!!

Un lieu de partage et d'apprentissage autour du karaté (entre autres)
Un superbe groupe, un sensei génial et très humain.
Un contexte qui permet de se dépasser pendant les cours tout en faisant partie d'une vraie communauté !

OSS

Enfin un lieu mêlant respect, pédagogie et performance. Mention spéciale au cours de kick boxing, où le coach transmet sa passion et son énergie, et permet également de faire progresser tous les élèves, quel que soit leur niveau de départ. Pour les râleurs, la boxe est un sport de combat, ce n'est pas du yoga.

Le cours de yoga avec Anda est vraiment super ✨

En revanche, pour le kick boxing, c'est à fuir, sauf si vous aimez entendre un instructeur de boxe aboyer des ordres assis sur sa chaise pendant une heure et demie. À aucun moment les gestes ne sont montrés, ni corrigés comme c'est le cas dans n'importe quel cours de boxe. C'est anti-pédagogique, tout sauf accueillant et je ne me suis pas sentie à ma place. Si ce cours a pour vocation d'entraîner uniquement des compétiteurs /compétitrices avec des méthodes "musclées", il faut le signaler, car la description de l'activité sur le site laisse présager une ambiance plus inclusive et bienveillante. Et quand bien même le niveau d'un cours est exigeant, un respect doit être de mise. Je précise que j'ai déja fait de la boxe auparavant, notamment des stages avec Tevi Say (une des plus grandes pionnières du MMA en France) et je n'y jamais vu une telle façon de diriger un cours. Le fait d'être renommé ou non lorsqu'on est coach ne devrait pas influer sur la manière de parler aux gens.

Voici un autre témoignage, un autre regard sur le karate au sein de kikentai.
La plupart d’entre vous ne se reconnaitrons pas dans cette histoire, et c’est tant mieux. Ils passeront leur chemin.
Certains réagiront. En effet, l'"image" est importante.
Peut-être qu’une toute petite minorité s’y retrouvera, et, si c’est le cas, c’est à celle-ci que ce message est adressé.
Lorsque j’ai commencé le karate il y a 10 ans, étant moi-même un peu sportif, et, comme père, je souhaitais accompagner mon fils dans son épanouissement physique. Aussi, je me suis laissé tenter par cette aventure.
Ma motivation principale était d’accompagner mon fils 14 ans, qui s’intéressait aux arts martiaux. Avoir une pratique régulière et une bonne maitrise de soi semblait coller à l’image que je me faisais de quelqu’un d’assez sportif.
Je fus de prime abord séduis par le côté viril de ce sport, je pris des cours les samedi et lundi, avec l’envie d’en faire plus.
J’essayais de me fondre dans une tribu de guerriers. L’ambiance était positive.
J’en sortais défoulé, exténué et apaisé.
Les années passèrent, mon niveau technique stagnait. Saturé de travail, n’ayant pas de marge de manœuvre pour m’investir davantage, je ratais la plupart des passages de grades. Manque de préparation, fatigue, blessures légères, contraintes personnelles diverses, je finis par me détacher de l’idée qu’il fallait passer des ceintures.
Je venais simplement pour la détente.
Parfois alpagué, car ma ceinture s’était desserrée, ou trop relâchée, je devais me reprendre. Interpelé car mes mouvements n’étaient pas synchronisés avec ceux du groupe, je commençais à me questionner. Il s’agissait de s'aligner sur le groupe, et de progresser. Le coté sérieux de ce sport ressortait plus souvent, les mouvements se travaillent pour devenir parfaits.
Aussi, il était usuel d’entretenir de la détente au sein des Karatekas, et un bon candidat à la brimade était là, je fus l’objet de quelques apostrophes.
Je finis par ressentir non plus un encouragement à progresser mais plutôt un mépris masqué en boutade.
Lorsqu’on m‘indiquais que je ne n’étais pas capable de faire les 3 mouvements de base, un gyaku, un kizami et un mawashi et que je ne méritais pas la ceinture que portais, je finis par ressentir une humiliation publique.
J’étais venu chercher un épanouissement, une meilleure confiance en soi, voilà que mon ego prenait maintenant des coups puissants.
Au final, lorsque je fus harangué avec les mots de « petit roitelet », je décidais de quitter ce club avec un capital de confiance en soi altéré, avec des épisodes dépressifs plus fréquents, et avec un sentiment de mal être.
Voici mon expérience, plusieurs années après, je supporte encore la mémoire de cet épisode amer, de cette aventure douloureuse.
Pour quelques uns, votre expérience pourrait ressembler à celle que j'ai décrite.
Pour la plupart, il est vraisemblable qu'elle sera plus épanouissante que la mienne.