NORMANDY HÔTEL

Situé à deux pas du Louvre, cet hôtel construit fin 1800 a gardé les fenêtres et tuyauteries d'époques!

Vieillissants, négligés, les sanitaires sont très moyens, les joints sont moisis par endroit, les canalisations sont chantantes.
La baignoire ne donne pas envie de prendre un bain, dommage parce que c'est "une-vraie-grande-baignoire."
La colonne de douche est cassée par endroit et bouffée par le calcaire.
Les lavabos (deux) sont une très bonne idée pour un couple et la grandeur de la SDB est un plus non négligeable (on cherche les points positifs) parcontre je deteste les toilettes dans la salle de bain.

Les fêtards du quartier sont "aux pieds de votre lit".
Les fenêtres en simples vitrages (probablement les vitres d'époques, allez y vite avant qu’ils ne les changent, ce sont des collectors) ne protègent en rien des nombreux bruits venus de l'extérieur.

La literie est plutôt bien et le lit en 180 est une très bonne idée (qui grince) pour les amoureux.
Le mini bar est vide, peut être pour inciter les clients à faire vivre le bar de l'hôtel.
Les chambres sont très grandes et lumineuses grâce aux deux très grandes fenêtres (c'est le versant positif!) qui donne sur la rue de l'échelle ou st honoré selon votre situation.
La climatisation qui ronronne mais qui permet de garder ces grandes fenêtres fermées (autant le prendre avec humour)

Rien à dire sur le style du mobilier très rococo (on aime ou pas) Un plus tout de même pour le Hall qui est superbe.

La situation de l’hôtel : le rêve. A l’angle de la rue St honoré/rue de l’échelle. A deux pas du Louvre. Si j’osais je dirais « Royal ! »

L'accueil : L’a quoi ? Ah, « l’accueil » ? C’est quoi « l’accueil » ? « La-dame-de-l’accueil » a quand même souri. Une fois. Quand on est partis. Bon c’était juste après avoir payé.

Le tarif pour cette grande chambre : 300 euros (sans le petit dej que nous avons pris ailleurs : trop de bonheur à la fois, ça ennivre!)