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Meinungen CENTRE BALNEAIRE RAOUL-FONQUERNE Sète
Meinungen der Mitglieder zu CENTRE BALNEAIRE RAOUL-FONQUERNE
4.3/5
27 meinung
Preis-Leistungs-Verhältnis
Dienst
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Comment peut on raisonnablement s'imaginer attribuer 5 lignes d'eau sur 6 à un club sur un mercredi après midi ????!
et donc ne laisser qu'une seule ligne d'eau pour le public ?
Complètement incohérent et insensé !
Je passe aussi sur le fait que le solarium était fermé et pas annoncé non plus.
Bref grosse déception.... 1ère et dernière visite dans cet établissement.
Je pense que les collègues maîtres nageurs étaient aussi sidérés que nous devant la situation.
D'ailleurs je pense que d'autres nageurs/nageuses du public l'étaient tout autant...et n'ont pas apprécié non plus.
Pour information, dans nos piscines en Rhône Alpes ...sur des créneaux identiques (mercredi ou week end on n'a jamais plus de 2 lignes d'eau /club)
Il faut juste savoir où l'on met les priorités...
Public...clubs?
et s'interroger peut être sur comment on crée un espace partagé, réfléchi et équilibré.
chaussures Près des vestiaires là où il avait les jassos je me suis fait voler
Manque juste de la musique d ambiance
Dommage je n étais que de passage !!!
Superbe !
Par contre, j'ai pris une carte de 10 entrées que j'ai perdue (ou volée car déjà 3 entrées volatilisées). Je suis dans l'ordinateur et pourtant je dois repayer. Heureusement que ce n était pas une carte annuelle. Quelques progrés nécessaires...
Moi , je trouve que c'est super ! AVANT (de préférence ! ) UN BON RESTO . . ou APRES ( attendre 4 heures pour la digestion - c'est un sauveteur qui vous parle ! )
Allez donc à la grande piscine équipée d'un nombre considérable d'activités pour tous les âges : ... vagues du bassin de loisirs,...bain bouillonnant, ...toboggans, ..bain bouillonnant ou solarium et salle de musculation et de fitness.
DONC , MOI ( mais je n'engage que "moi" ! ) JE RECOMMANDE . . .