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Meinungen PALAIS DE JUSTICE Metz
Meinungen der Mitglieder zu PALAIS DE JUSTICE
2.4/5
25 meinung
Preis-Leistungs-Verhältnis
Dienst
Originalität
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
PALAIS DE JUSTICE
Geschlossen
- Öffnet zu 08h30
Öffnungszeiten
Montag
08:30 - 11:45
und 13:30 - 16:30
Dienstag
08:30 - 11:45
und 13:30 - 16:30
Mittwoch
08:30 - 11:45
und 13:30 - 16:30
Donnerstag
08:30 - 11:45
und 13:30 - 16:30
Freitag
08:30 - 11:45
und 13:30 - 16:30
Samstag
Geschlossen
Sonntag
Geschlossen
Die Besten in Metz und um
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Ils sont injoignables au téléphone. J'ai passé 2 jours entiers à tenter de les joindre au téléphone sans aucune réponse. Je passe mes journées à tenter de les joindre en continue avec les écouteurs sur les oreilles pendant que je travaille. Même en procédant ainsi, impossible de les avoir au bout du fil.
Je plains les personnes qui n'ont pas un travail de bureau car pour eux ça doit relever de mission impossible pour joindre le palais de justice ....
Parfait
Horrible, bravo le service public français !!!
Mais la porte d'entrée est di lourde que j'ai due être aidée pour sortir.???? Lourde comme certaines..peines. ????
ayant réitéré plusieurs fois mon appel (le système raccroche automatiquement), je suis vraiment déçu et ne recommande pas du tout de joindre le TJ par téléphone.
La rue de la Haute-Pierre doit son nom à un hôtel homonyme connu depuis le Moyen-âge. Cet hôtel était la propriété du chapitre de la cathédrale qui le céda au duc de Suffolk, surnommé Blanche Rose. Ce dernier voulu rebâtir une demeure somptueuse et dépensa force argent pour cette entreprise qui resta inachevée après un an et demi de travaux. En effet, le duc fut chassé de Metz par le scandale d'une intrigue galante avec l'épouse d'un orfèvre de Fournirue. Il vint se réfugier à Toul en 1529. La demeure est rachetée par le roi afin d'y loger les Gouverneurs de la ville. Louis XV lui-même y logea en 1744.
Par une ordonnance royale datée du 26 juin 1778, est décidée la reconstruction de l'hôtel. Les plans sont confiés à l'architecte Charles Louis Clérisseau (1721-1820) par le gouverneur de Metz et commandant en chef des Trois-Évêchés, le duc de Broglie, Maréchal de France. 13 ans plus tard en 1791, les travaux de construction sont suspendus.
Encadrant la cour d'honneur barlongue, le corps central du bâtiment et deux pavillons réunis en avant par un mur-porche, dressent de façon majestueuse et imposante, leurs façades en pierre de Jaumont. Le porche qui s'élève à hauteur d'étage est accessible par une porte en plein cintre. Il est encadré de deux trophées disposés sur les deux guérites. Le tympan est un bronze en bas-relief. Le sommet est couronné par un groupe allégorique en haut-relief représentant la Clémence : une femme accompagnée d'un enfant et d'un lion. Les frontons triangulaires des deux ailes sont agrémentés de hauts reliefs représentant les divinités antiques, à gauche Mars, à droite Minerve.
Une fois franchi le porche, ce qui frappe d'emblée est le fait que l'ordonnancement des façades intérieures et rigoureusement identique à celui des façades extérieures. Au premier niveau la décoration est sobre. L'étage noble présente par contre un riche décor, quoique relativement sévère. Le troisième niveau est traité en attique, et est ajouré par deux petites baies carrées alternant avec des reliefs sculptés, l'un représente le duc de Guise protégeant les soldats ennemis de Charles-Quint, blessés lors du siège de 1552, l'autre, une allégorie de la France s'élançant au secours de l'Amérique, faisant allusion au traité de Paris de 1778. La Corniche est traitée de façon très élégante, et c'est le seul élément de tout l'édifice à présenter des formes courbes. L'axe des bâtiments latéraux et mis en avant par une légère saillie dont les entrées sont surmontées de personnages en pied, exécutés en haut relief deux : d'une part le duc de Guise faisant face au duc de Montmorency, et d'autre part le Maréchal de Vieilleville et le duc de Broglie. Ces sculptures sont l'œuvre de François Masson (1745-1807), artiste normand protégé par les Broglie.
La cage d'escalier présente une rampe en fer forgé qui est un chef-d'œuvre de la ferronnerie classique. Il s'agit d'une réalisation du ferronnier messin Guisse.
En 1801, la cour d'appel de Metz s'installe dans l'édifice puis l'ensemble des services judiciaires.
Pour continuer notre visite touristique de Metz, nous pouvons nous diriger vers le début de la Rue Serpenoise pour y admirer la superbe colonne romaine de Merten, puis traverser la grande place de la République pour aller voir la Porte Serpenoise, puis l'ancien magasin aux vivres de la Citadelle, puis aller voir à une centaine de mètres derrière la Citadelle l'ancienne Chapelle des Templiers, puis la plus vieille église de France, Saint Pierre-aux-Nonnains etc...
Je mets quelques photographies en annexe. Svp si possible mettre « un like ou utile » sous l'avis et les photos pour m'encourager dans ma démarche. Merci d'avance.
Bonne balade à Metz. Best regards. Éric Tison. F-57 Metz.