LA BAGUERNETTE
Um an diesem Tisch mit gutem Ruf in Clairmarais einheimische Gerichte zu probieren.
Dieser in den Ohren klingende Name bezeichnete früher ein Werkzeug, das zum Reinigen von Gräben verwendet wurde... Heute ist es ein Tisch mit gutem Ruf, der den Spaziergang durch die Sümpfe von Isnor eröffnen oder abschließen kann. Hier kann man Gerichte aus der Region probieren: Honig-Spekulatius-Cabecou-Aumônière, flämische Carbonnade mit Lebkuchen, Hühnerkokotte mit Ch'ti-Bier, überbacken mit Maroilles... und vor allem das berühmte Spanferkel, das acht Stunden lang im Holzofen gegart wird, ein Genuss, der auf der Zunge zergeht... Als Nachtisch sollten Sie den karamellisierten French Toast mit Vanilleeis probieren.
Wussten Sie schon? Diese Stellungnahme wurde von unseren professionellen Autoren verfasst.
Meinungen der Mitglieder zu LA BAGUERNETTE
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Mais le véritable cauchemar ne faisait que commencer. Les plats, lorsqu'ils ont enfin daigné apparaître, étaient d'une tristesse affligeante. Présentation négligée, produits manifestement pas frais, cuissons approximatives : une insulte à la gastronomie locale.
Les entrées : une ridicule tranche de saumon fumé, lilliputienne, ou un disque de chèvre industriel posé sans vergogne sur une tranche de pain de supermarché.
Le plat principal : un cabillaud en croûte qui n'en avait que le nom, dissimulant un assortiment de poissons divers et variés, mal cuits et sans saveur, disposés dans l'assiette avec l'art d'un enfant de maternelle.
Le tout, bien évidemment, à des prix exorbitants. Un rapport qualité-prix indécent.
Fuyez cet endroit comme la peste ! Si vous cherchez un bon restaurant dans le coin, contentez-vous d'un sandwich dans une boulangerie ou d'un pique-nique sur un banc. Vous y trouverez sans aucun doute bien plus de saveur et d'authenticité que dans ce naufrage culinaire.
J'ai fait part au responsable de notre mécontentement (nous étions 27) mais visiblement, il ne cherche pas à fidéliser sa clientèle, mais plutôt à faire du chiffre avec le touriste de passage.
Au lieu de nous proposer un geste commercial, il a soutenu mordicus que nous avions consommé des extras. Après contestation et vérification, il a dû admettre son erreur.
Une reconversion s'impose. Urgemment.