LE SONHIR
Das Kino in Hirson verfügt über drei digital ausgestattete Säle. Zwei bescheidene und ein weiterer von respektabler Größe, in dem sich 3D voll entfalten kann. Weit entfernt von den mastodonten Multiplexen ist es schön, sich in diesem altmodischen Kino aufzuhalten, das als erstes in der Thiérache 3D HFR anbietet! In der Lobby können Sie alte Projektoren bewundern und Ihre Süßigkeiten, Getränke und Popcorn auswählen. Die Filme kommen meist landesweit in die Kinos und regelmäßig finden Vorpremieren statt. Auch der kulturelle Ansatz ist lobenswert: Opern- und Konzertübertragungen bringen Schwung in die Stadt. Auch das Arthouse-Kino findet in Sondervorstellungen seinen Platz. Für Kinder und Senioren gibt es spezielle Zeitfenster, in denen sie sich einen Film ansehen können. Ein wirklich schönes und dynamisches Kino. Bravo!
Wussten Sie schon? Diese Stellungnahme wurde von unseren professionellen Autoren verfasst.
Die Stärken dieser Einrichtung :
Meinungen der Mitglieder zu LE SONHIR
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Nous sommes allés ce samedi 25 février 2023 à 20:30 voir un film et nous avons eu le regret de constater qu’une salle des fêtes était collée au cinéma .
En effet tout le long du film nous avons entendu la musique de la soirée qui se passait à côté. 3h30 de film avec les basses ,le son était tellement fort que nous reconnaissions même quelle musique passait . Je suis allée voir le personnel (compréhensif et démuni fasse à la situation) qui m’ont expliqué ce que nous entendions et qu'il ne pouvait rien faire mis à part augmenter le son du film. Lors de cet échange j’ai posé ma main sur le pilonne au centre du hall d’accueil, celui ci vibrait tellement les basses de la soirée a côté étaient puissantes. même après avoir augmenté le son le problème était toujours présent . Nous avons passé une séance de cinéma mélangée à une soirée . A 9€ la place (séance 3D) je trouve ça dommage.
En sortant du cinéma nous avons été accueilli par un groupe de jeune ivre bière à la main..
Le gérant du cinéma était absent je l'ai donc contacté dès le lendemain , exposant le problème et demandant un geste commercial. La réponse étant qu'il ne pouvait pas gérer les festivités et le désordre sur la voie publique , ce que je peux comprendre. Concernant le geste commerciale la réponse fut floue et après avoir demandé plus de renseignement : plus de son plus d'image.
Je me permets donc d'exposer ce mécontentement, et de ne pas recommander ce cinéma le week end (jour de mariages et festivités) .
Aux antipodes de cet endroit, le Sonhir 3. " Sonhir " n'est que le verlan d'Hirson, "3" comme le nombre de salles de projection où s'exprime le 7ème art, dans cette commune d'un peu moins de 10 000 habitants. Les amateurs de la grande lucarne ont toujours eu de quoi se lécher les bobines dans cet établissement, avec une programmation variées, des avant premières et même dans quelques rares cas, des invités vedettes. Lors de la sortie de " Rien à déclarer", presque tous les acteurs du film sont venus se présenter, à un public reconnaissant de la promotion faite à la région, frontalière de la Belgique.
La salle A, la plus grande, est de bonne taille et confortable depuis que les rangées de sièges ont été espacées. Fini la sensation de voyager en vol low cost alors que vous regardiez Top Gun, les genoux du mec derrière vous, dans votre dos.
La salle C demeure toujours drôlement intimiste. C'est un peu " Chérie j'ai rétréci les gosses" lorsque vous posez vos fesses dans cet espace étriqué. Ici, en petit comité, les bonnes manières sont plus indispensables qu'ailleurs : Eteignez vos téléphones portables, évitez de ronfler, parler, murmurer ( même à l'oreille des chevaux, pendant les séances ).
Quant à la salle B, c'est la terre du milieu, ni trop grande, ni trop petite.
La première fois que j'allais au Sonhir, je vis Taram et le Chaudron Magique. Ma tante nous avait emmené en voiture, mon cousin et moi. Ensuite, il y eut les sorties pédagogiques avec l'école primaire de Neuve- Maison, puis avec le collège, devant les reportages du National Geographic, les interprétations de romans de Pagnol " La Gloire de mon Père, le Château de ma mère", "L'ours" de Jean-Jacques Annaud ou encore le très bon Lian Neeson dans le bouleversant "La Liste de Schindler". Je ne suis pas un survivant du "Jurassic Park" mais pourtant, je connu l'époque où, pendant les bande- annonces, le vendeur de glaces et de confiseries déambulait entre les rangées de sièges !