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Meinungen CHEMIN DE FER DE LA BAIE DE SOMME Saint-Valery-Sur-Somme
Meinungen der Mitglieder zu CHEMIN DE FER DE LA BAIE DE SOMME
4.2/5
6 meinung
Preis-Leistungs-Verhältnis
Dienst
Originalität
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Besucht in juli 2019
Preis-Leistungs-Verhältnis
Dienst
Originalität
DEPAYSEMENT ASSURE
Prendre ce train nous ramène des années en arrière. C'est très agréble, on voit les animaux, les oiseaux et la nature. Un bon moment à passer !
Besucht in november 2018
Preis-Leistungs-Verhältnis
Dienst
Originalität
amusant mais pas transcendant
un petit train bien touristique pour passer à travers les pres salés
parcours très court. trop cher
parcours très court. trop cher
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Besucht in september 2018
Preis-Leistungs-Verhältnis
Dienst
Originalität
Un voyage de Noyelles sur mer au Crotoy dans le petit train avec ses wagons authentiques et sa locomotive, certaines sont à vapeur ...reste un grand moment ! la voie raverse les zones humides : l'Estran peuplées d'oiseaux et de moutons ...
Besucht in mai 2018
Preis-Leistungs-Verhältnis
Dienst
Originalität
sympathique voyage à travers la campagne de la baie de somme, en locomotive à vapeur, si vous avez l'occasion choisissez bien votre wagon ils sont tous au même tarif et en première c'est plus confortable, il y a même un wagon pour les vélo, trottinettes... et le parking en partant du Crotoy est gratuit avec le billet
Besucht in mai 2015
Preis-Leistungs-Verhältnis
Dienst
Originalität
Il n'est pas question ici de vous vanter le progrès notamment dans le domaine des transports à la façon d'un Jules Vernes dans l'ensemble de son œuvre. Au contraire, à bord de ce train qui nous emmène de Le Crotoy à St-Valery ( comptez 13 € pour un aller-retour ), nous faisons un rétropédalage de plus de 100 ans en arrière, comme le fit Marty McFly dans la trilogie "retour vers le futur" , à une époque où les rames n'étaient pas alimentées à l'électricité mais tractées par une locomotive à vapeur.
Le confort dans notre wagon de troisième classe et sommaire. Assis sur une banquette en bois sans rembourrage, nous n'avons pas encore quitter la gare de départ que j'ai les fesses comme celles d'un fakir qui vient de poser son popotin durant deux heures sur une planche à clous.
La première partie du trajet entre Le Crotoy et Noyelles S/ Mer et plutôt décevante. Notre machine remarquablement restaurée traverse quelques pâtures d'herbes grasses, irriguées par quelques canaux. Le spectacle est plutôt pour les conducteurs et leurs passagers, bloqués dans leur habitacle au passage à niveau, qui nous font de grands signes derrières leur pare-brise. Le train fascinait autrefois à l'époque de la révolution industrielle et continue de passionner aujourd'hui petits et grands alors qu'il il est désormais plus commun de se déplacer en avion.
Arrivés à Noyelles S/ Mer nous nous arrêtons pendant ce qui paraît une éternité. Le temps nécessaire pour que quelques passagers prennent leur correspondance. C'est aussi temps qu'il faut pour de grandes manœuvres. La locomotive qui nous tractait jusque là se décroche du reste du train, passe devant nous dans le sens opposé sur d'autres rails et vient se raccrocher à l'arrière pour enfin partir, après plus d'une demi-heure d'attente, dans une autre direction.
La fin du parcours qui relie Noyelles S/ Mer à St-Valery et beaucoup plus attrayante à mes yeux. Nous traversons enfin ce pourquoi je suis monté à bord, les prés-salés qui donne l'appellation d'origine contrôlée aux moutons qui ruminent paisiblement en ces lieux, ce qui donne à la viande des ovins un goût salé naturellement. Ces zones humides constituées d'herbage marécageux attire également grands nombre d'échassiers et confère un caractère unique à ce type de paysage. Malheureusement cette deuxième étape est courte et ce n'est que trop rapidement que nous descendons à St-Valery.
Une nouvelle fois, la locomotive se détache du reste du train, avance jusqu'à une plateforme pivotante à 180 degrés pour que cette dernière puisse se réorienter dans le sens inverse, tout cela sous le crépitement des flashs des amoureux du train.
Le confort dans notre wagon de troisième classe et sommaire. Assis sur une banquette en bois sans rembourrage, nous n'avons pas encore quitter la gare de départ que j'ai les fesses comme celles d'un fakir qui vient de poser son popotin durant deux heures sur une planche à clous.
La première partie du trajet entre Le Crotoy et Noyelles S/ Mer et plutôt décevante. Notre machine remarquablement restaurée traverse quelques pâtures d'herbes grasses, irriguées par quelques canaux. Le spectacle est plutôt pour les conducteurs et leurs passagers, bloqués dans leur habitacle au passage à niveau, qui nous font de grands signes derrières leur pare-brise. Le train fascinait autrefois à l'époque de la révolution industrielle et continue de passionner aujourd'hui petits et grands alors qu'il il est désormais plus commun de se déplacer en avion.
Arrivés à Noyelles S/ Mer nous nous arrêtons pendant ce qui paraît une éternité. Le temps nécessaire pour que quelques passagers prennent leur correspondance. C'est aussi temps qu'il faut pour de grandes manœuvres. La locomotive qui nous tractait jusque là se décroche du reste du train, passe devant nous dans le sens opposé sur d'autres rails et vient se raccrocher à l'arrière pour enfin partir, après plus d'une demi-heure d'attente, dans une autre direction.
La fin du parcours qui relie Noyelles S/ Mer à St-Valery et beaucoup plus attrayante à mes yeux. Nous traversons enfin ce pourquoi je suis monté à bord, les prés-salés qui donne l'appellation d'origine contrôlée aux moutons qui ruminent paisiblement en ces lieux, ce qui donne à la viande des ovins un goût salé naturellement. Ces zones humides constituées d'herbage marécageux attire également grands nombre d'échassiers et confère un caractère unique à ce type de paysage. Malheureusement cette deuxième étape est courte et ce n'est que trop rapidement que nous descendons à St-Valery.
Une nouvelle fois, la locomotive se détache du reste du train, avance jusqu'à une plateforme pivotante à 180 degrés pour que cette dernière puisse se réorienter dans le sens inverse, tout cela sous le crépitement des flashs des amoureux du train.
Visité en février