Meinungen MUSÉE DU SEL Saint-Leu

Si vous le visitez, vous pourrez découvrir l'histoire du sel à la réunion. L'avantage est que c'est gratuit donc pour ceux qui ne veulent pas se dépayser ce serait un très bon choix ; vous devriez allez aussi voir la pointe au sel et le souffle .
Bonne visite !!

bel endroit pour se promener, le musée est accessible, avec des vidéos et jeux pour les enfants. Belle vue sur l'océan de cet endroit là, je recommande.

Musée assez banal mais site très agréable qui permet balade parmi les salines et le long du littoral

Pointe de sel
Quitter la nationale et suivre les panneaux indicateurs. Grand parking bien structuré.
Le musée était soit abandonné ou fermé. .. Ce bâtiment vétuste est loin d’attirer la foule. Quelques bassins de sel ne présentant pas une très grande activité...
Par contre arrêt obligatoire pour contempler du haut de la falaise le paysage et surtout les petites criques aux eaux turquoise. La baignade est magique dans une eau calme, protégée et avec une température très agréable. Mettre des sandales car la roche volcanique est blessante. Attention aussi aux coups de soleil…

petit musée mais interessant a visiter. On peut en ramener de petits sachets de sel de la Reunion , bien emballés et a moindre cout, petit cadeau sympa. de plus le site est beau et agréable, en preambule a la visite de kelonia, musée marin sur les tortues

Culturel et ludique, c'est un lieu à découvrir.
L'entrée est gratuite.
Une film très intéressant est proposé aux visiteurs.
Activité recommandée pour les enfants et les adultes pour découvrir la Réunion et son histoire.

Un endroit qui vaut le détour, et qu'on s'y arrête. Le musée se visite rapidement mais est, néanmoins intéressant. De plus, à une centaine de mètres, vous avez une vue imprenable sur le souffleur

La marche du sel

En 1930, le Mahatma Gandhi entame, en réaction à une loi de l'Empire britannique visant à instaurer une taxe sur le sel, une marche de 386 km de son ashram des environs d'Ahmedabad jusqu'au bord de l'Océan Indien à Dandi. La foule qui l'accompagne grossit au fil du parcours. Des villageois, des journalistes, des intellectuels se rallient à la cause. Représentative des actions de « désobéissance civile » pour arracher aux Anglais l'indépendance de l'Inde, la marche fut très médiatisée. A l'arrivée, symboliquement, Gandhi ramassera une poignée de sel. Il sera jeté, avec d'autres, en prison mais les Indiens obtiendront, ce jour-là, le droit de collecter le sel eux-mêmes.

Ce matin, nous visitons au musée de la Pointe au Sel une exposition retraçant cette épopée. La visite comprend aussi la découverte des salines parfaitement fonctionnelles et qui produisent plusieurs tonnes de sel par an.
Les paludiers nous attendent pour une démonstration. Le site ne produit pas vraiment de sel mais a pour objectifs la conservation de l'outil de travail et du savoir-faire acquis pendant un siècle. Le sel récolté est mis dans des sacs entassés dans un hangar mais n'est pas (ne peut pas être) commercialisé.
« On m'a dit de venir pousser le sel. Je pousse le sel ! » me dit avec beaucoup de regrets dans la voix, un des sauniers. Son père, déjà, poussait le sel.
Il semble qu'il serait plus valorisant, pour tout le monde, de faire fonctionner réellement la saline, d'extraire le sel et de le vendre d'autant plus qu'il est, paraît-il, de très bonne qualité. C'est vrai qu'on comprend bien le rôle et les objectifs du musée mais il est vrai aussi qu'on s'interroge sur la non-commercialisation du produit fini.

Peut-être que le temps est venu d'organiser, à l'instar de Gandhi, « une nouvelle marche du sel » de la Pointe au Sel jusqu'à Saint-Denis pour exiger « pacifiquement » la commercialisation du sel de Bourbon.