ARABIAN SEA VILLAS
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Ohne kastrierenden Teer ist der riesige Strand direkt vor der Tür. Mussallem, ein eleganter Omani mit Kinoprofil, leitet dieses kleine Geschäft ohne viel Schnickschnack. Man ist wirklich mit dem Meer konfrontiert, ohne Tricks und ohne übertriebenen Komfort. Ein nicht immer gut gepflegtes Zwei-Sterne-Hotel mit 22 Zimmern, von denen einige über Dachterrassen verfügen, auf denen man in der Brise blubbern kann. Und wenn Sie Lust auf die Wüste haben, folgen Sie Mussallem, dem Profi der Rub Al-Khali (Biwak, Trekking und Meharee sind möglich). Wichtiger Hinweis: Um den Meerblick zu genießen, müssen Sie sich in eines der wenigen Zimmer im ersten Stock mit Balkon quetschen, sonst macache! Weit weg vom Zentrum und ohne Auto ist man aufgeschmissen, es sei denn, man holt sich ein Taxi im 700 m entfernten Crowne Plaza. Aber ein Spielplatz für Sandstürme: nach Osten oder Westen, 15 km weißes Pulver.
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Meinungen der Mitglieder zu ARABIAN SEA VILLAS
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Ce n'est pas «un hôtel 2 étoiles correctement entretenu» (selon vos mots) mais un immeuble de chambres d'hôtes au confort plus que sommaire, laissé sans entretien depuis plusieurs années, à l’accueil déplorable.
L’établissement est à l’abandon: maçonnerie extérieure déglinguée avec des fers à béton rouillés et de grandes plaques de ciment éclaté, paillotes sur la terrasse branlantes, nombreuses taches sur les tables de la terrasse, couche de poussière sur les rampes d’escalier et les luminaires, panneaux en bois des portes des chambres fendus, tas de détritus à l’entrée, matériels hétéroclites laissés dans les escaliers ou sur la terrasse (lampes de chantier, rouleaux de fils électriques, grill pain…) pas de coin réception, mobilier dépareillé et usé, le siège du wc de notre chambre était descellé, une seule serviette de toilette, balai, serpillière et produits d’entretien laissés dans un coin de notre salle de bain, etc...
Lorsque nous sommes arrivés, il a fallu parcourir tout l’immeuble et crier, avant de voir apparaître un réceptionniste indien hirsute qui nous a indiqué nos chambres sans nous aider à porter nos bagages, avant de nous servir – après qu’on l’en ait prié - un nescafé à peine chaud. Lorsque nous lui avons demandé où se trouvaient Maria et Mussallem, (selon les références de votre publication 21017/2018) il nous a regardé avec un air ahuri avant de nous indiquer qu’il ne connaissait pas la première, et que le second faisait des courses en ville, et qu’il serait bientôt de retour…
Selon ce que nous avons appris par la suite, la dénommée Maria, qui était belge francophone, a disparu depuis un certain temps, ce qui peut expliquer l’état d’abandon de l’établissement, dans la mesure où Mussallem se consacre à l’accompagnement de touristes dans le désert.