BRAVO ! SUSHI BAR
Das Bravo! war zwar das erstgeborene Restaurant auf Eden Island, doch das Lokal bietet auch die letzte Neuheit der künstlichen Insel: seine Sushi-Bar. In einem angenehmen, klimatisierten Raum mit gepflegter Dekoration, an einem Tisch oder auf einem hohen Hocker gegenüber der Bar, kann man zwischen den großen japanischen Klassikern wählen. Kulinarisch ist das vielleicht nicht unvergesslich, aber der Rahmen ist nett und es ist mal etwas anderes. Danach ist immer noch Zeit für einen Cocktail oder einen Seybrew auf der Terrasse mit Blick auf den Yachthafen und die Yachten.
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Meinungen der Mitglieder zu BRAVO ! SUSHI BAR
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Deux tables: une au centre, une près des flots. Nous la prenons. Problème, la seule lumière est une bougie. Impossible de lire le menu. Nous ne pouvons commander. La serveuse nous propose son téléphone portable pour lire le menu.
Nous refusons et demandons à parler avec le gérant. Dix minutes plus tard, une femme arrive. Elle ne parle pas français, une des trois langues oficielles du pays. Aucune importance, nous parlons anglais. Situation défusée.
Vingt minutes d'attente et le vin commandé (rouge) arrive. Servi dans seau à glace! Horreur! Je demande à voir le gérant, puisque la femme mentionné n'est que la compagne de ce dernier. Il vient, assez énervé. Il ne parle qu'anglais lui aussi et tente de nous expliquer que le vin rouge se boit dans la glace, car "tous" les clients le demandent ainsi, notamment les russes, chinois, arabes et même les sud africains, pays dont il est originaire et où tout le monde demande son vin ainsi. Pas de chance, nous en venons et n'avons jamais rencontré une telle ânerie en AfSud.
Finaement et avec une nouvelle attente, une bouteille chambrée nous est servi. Le Merlot sudafricain est délicieux, tout comme le repas, mais le service est long. Les serveuses ont décidé de nous bouder et, parce que mon épouse est seychelloise, parlent systématiquement en créole, que je comprends mais ne parle pas.
Je dois demander plusieurs fois l'adition. Cette dernière en main, je pars payer. Temps passé deux heures trente pour une heure de repas. Vers l'entrée, je cherche la caisse et pense la trouver. Une employée affairée à faire je ne sais quoi me montre du doigt LA caisse, sans mes regarder.Arrivé devant la "bonne" caisse, l'employée poursuit se conversation téléphonique privée sur portable sans me regarder et me fait signe de la main, de composer mon code CB.