BISTROT 1954
Entspanntes Bistro mit Blick auf das Meer und den Leuchtturm, wo Sie ein Glas trinken und Meeresfrüchte, einen Salat oder einen Burger genießen können.
Das Bistrot 1954 (das Datum des Beginns des Familienepos) liegt gegenüber dem Meer, der Abtei und dem Leuchtturm, die im ganzen Finistère berühmt sind. Hier können Sie ein Glas trinken, einen Salat, einen Meeresfrüchteteller, einen Burger oder einfach nur etwas Süßes nach einem Spaziergang auf den umliegenden Wanderwegen essen. In einem von Glasfenstern umgebenen Raum genießen Sie die herrliche Aussicht und die Präsentation der Gerichte, die sich Nolwenn Corre, Absolventin des Instituts Paul Bocuse und Chefin des Bistros und des angeschlossenen Gourmetrestaurants (seit 2019 ein Stern!), ausgedacht hat.
Wussten Sie schon? Diese Stellungnahme wurde von unseren professionellen Autoren verfasst.
Meinungen der Mitglieder zu BISTROT 1954
Die nachstehenden Bewertungen und Meinungen geben die subjektiven Meinungen der Mitglieder wieder und nicht die Meinung von Le Petit Futé.
Tout ça avec pas moins de 30 min d'attente entre chaque plat. Serveurs condescendants à l'exception des "petits jeunes" très souriants.
Bref , adresse à oublier et à déconseiller.
Pour lui, faire manger des enfants de 2 et 3 ans sans leurs parents était normal et pas négociable : « c’est comme ça et pas autrement ! »
Dans cette salle remplie à 50%, il aura fallu plus de 5 min pour que monsieur accepte d’ajouter une petite table... le tout sur un ton jamais entendu dans quelconque restaurant.
Comment un tel établissement a-t-il pu confier sa salle à cette personne antipathique à souhait ?
Bon courage aux jeunes serveurs qui côtoient l’incompétence et la condescendance au quotidien
Client occasionnel du 1954, j'ai opté pour un homard bleu sur menu ( supplément 8 euros).
Le plat est servi et là: consternation !!! Point de homard mais une minuscule demi-langouste, 3 petites bouchées et l'affaire était entendue, je le signale au serveur qui ne m'apporte aucune réponse.
Au moment de payer l'addition, je le signale de nouveau au gérant et là, plates et timides excuses, on me dit qu'il aurait fallu le signaler au serveur. Quelle dérision.
Au revoir le 1954, ou plutôt: adieu,