CLOÎTRE DE LA CATHÉDRALE DE FRÉJUS
Kreuzgang bestehend aus einem ebenerdigen Stock und einer oberen Galerie, bemalte Tafeln mit Szenen aus dem täglichen Leben zu sehen
Der Kreuzgang der Kathedrale Saint-Léonce wurde in zwei Phasen errichtet. Jahrhundert wurde eine erste ebenerdige Ebene errichtet, die im darauffolgenden Jahrhundert durch eine obere Galerie ergänzt wurde. Dies hatte zur Folge, dass im Erdgeschoss ein hölzerner Kastenrahmen angebracht wurde, der aus dreihundert bemalten Paneelen besteht, die Szenen aus dem täglichen Leben, religiöse Elemente und vor allem ein fantastisches mittelalterliches Bestiarium darstellen. In der Mitte befindet sich ein tiefer Brunnen.
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Meinungen der Mitglieder zu CLOÎTRE DE LA CATHÉDRALE DE FRÉJUS
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Défiguré à la Révolution, le cloître est fortement restauré et dégagé des constructions parasites par Jules Formigé entre 1920 et 1924.
Il s’agit d’un cloître de chanoines alors n’y cherchez pas de dortoir qui s’ouvrirait sur le cloître. Il regroupe plutôt les bâtiments de travail quotidien des chanoines et chacun regagne sa maison dans la ville la journée terminée.
C’est également un espace public que les paroissiens traversent pour se rendre à la cathédrale, ce qui en fait un espace vivant, loin d’être silencieux, bien différent des cloîtres de monastères ou d’abbayes.
L’élément le plus frappant du cloître est le plafond du premier niveau – à ne pas manquer! Au début du 14e siècle, on ajoute un deuxième étage, ce qui contraint les bâtisseurs à remplacer l’ancienne voûte de pierre du premier niveau de galeries par une charpente au plafond de mélèze qui supporte la galerie haute grâce à ses solives transversales qui s’appuient sur une structure intermédiaire constituée par deux rangées de corbeaux alignés sous les solives. Des planchettes ou “ais d’entrevous” sont placées comme raidisseurs de la structure et sont disposées sur trois niveaux, entre les solives et en-dessous, entre les corbeaux. Peintes, on ne se lasse pas de scruter. Trois catégories de personnages sont représentées sur des fonds bleus et rouge évoquant (1) la religion (chanoines, saints, évêques, anges et démons). (2) la vie quotidienne (les métiers, les notables, les troubadours, la guerre) et (3) le bestiaire, le plus représenté (animaux fantastiques comme les dragons, être hybrides greffant à l’animal des terminaisons humaines ou, plus insolite, des objets). Sur les 1200 petites peintures d’origine, 300 sont encore identifiables, les autres ayant été détruites ou effacées par l’humidité.